۹ آبان ۱۴۰۳ |۲۶ ربیع‌الثانی ۱۴۴۶ | Oct 30, 2024
شیخ علی یاسین العاملی

Hawzah/Responsable du rassemblement des Olama de Tyr : l'histoire de l'Iran prouve que sa réponse à Israël n'est pas seulement une question médiatique, mais qu'elle constituera un grand pas en avant pour éliminer le projet sioniste-américain de la région.

Liban(A.P.Hawzah)-Cheikh Ali Yassine, président du rassemblement des savants de Tyr, a déclaré : les prétendants à la souveraineté du Liban cherchent à réveiller l'esprit de sédition et entendent répéter le crime qu'ils ont commis en 1975 ; par leur comportement, ils veulent servir la conspiration à laquelle le Liban et la région ont été exposés dans l’ombre du projet sioniste-américain.

Il a poursuivi : les prétendants à la souveraineté profitent de chaque incident pour déclencher la sédition que recherchent les ambassades du projet sioniste-américain pour affaiblir le front libanais en faveur de l'ennemi sioniste. Un ennemi qui vacille devant la nation palestinienne et l’axe de la résistance.

Hodjatoleslam Ameli a ajouté : les provocations qui ont lieu dans certaines régions par certains groupes, que ce soit contre une composante nationale ou contre les réfugiés syriens, sont en tout cas une attaque contre notre patrie.

Tout en exprimant ses condoléances aux survivants de la tempête Al-Aqsa et de la Route Sainte, dont le dernier était la famille d'Ismail Haniyeh, chef du bureau politique du mouvement Hamas, il a souligné que le prix du génocide du peuple palestinien sera payé par le projet sioniste-américain et par tous les régimes de compromis et mercenaires.

En fin de compte, Hodjatoleslam Ameli a déclaré : nous avons pleinement confiance dans le dirigeant iranien et dans la volonté de son peuple en réponse au crime du régime sioniste dans l'attaque du consulat de ce pays en Syrie. L’histoire de l’Iran confirme que leur réponse n’est pas seulement une question médiatique, mais qu’elle constituera un grand pas en avant pour chasser le projet sioniste-américain de la région.

Il convient de mentionner que la guerre civile au Liban a duré de 1975 à 1990 et a fait environ 120 000 victimes. En 2012, environ 76 000 personnes étaient toujours déplacées. À la suite de cette guerre, un million de personnes ont quitté le Liban.

Le matin du 13 avril 1975, des hommes armés inconnus à bord d'une voiture ont ouvert le feu sur une église de la banlieue chrétienne d'Ain al-Ramanah à Beyrouth, tuant quatre personnes, dont deux phalangistes maronites. Ces conflits mineurs ont évolué vers des conflits majeurs.

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